Geneviève Ibanez et la modernité


 

Geneviève Ibanez
(coll. Pierrette Germain-André/Musimem) DR.

 

Geneviève Ibanez n’était pas exactement pour moi une camarade d’études. Tous deux étudiants au CNSMDP dans les années 1960-70, nous fréquentions en effet des classes différentes…

 

Je ne l’ai côtoyée régulièrement qu’à partir de la fin 1972 ; mon retour de Rome coïncida avec ma nomination au Conservatoire de Boulogne-Billancourt, encore situé dans un célèbre « bidonville » …

 

A cette même rentrée scolaire 1972 nous arrivait Claude Bonneton, son mari, pianiste flamboyant, passionnément engagé dans la défense des musiques nouvelles. Son action en soliste, mais aussi dans des ensembles spécifiques (par exemple le trio Deslogères avec ondes Martenot et percussion pour lequel je venais d’écrire Houles), fut certainement pour Geneviève un exemple capital, et aussi un travail en commun à 2 pianos ou 4 mains, aussi précis qu’enthousiaste.

 

Peu à peu, je me suis aperçu que Geneviève, en plus de ses qualités pianistiques, était une lectrice remarquable : qualité essentielle pour déchiffrer rapidement certains rébus de l’époque…

 

Pour ceux qui ne pratiquent pas ce sport de haut niveau, déchiffrer à vue, c’est un peu comme conduire une formule 1 dans un environnement encombré d’obstacles et de pièges… dix décisions à prendre par seconde…

 

La mère de Geneviève, autrefois pianiste à la radio de Marseille, était aussi une formidable lectrice, et encore à un âge avancé (j’en suis témoin). Je découvris plus tard cette filiation évidente.

 

Pour les compositeurs que l’on joue, de tels dons provoquent admiration et confiance : on peut alors parler musique, sonorités, interprétation, car le texte pur est très vite maîtrisé. Cela crée des liens, et je constatai que Geneviève entretenait avec nombre de compositeurs des relations amicales et suivies (on peut citer parmi bien d’autres Georges Hugon, Antoine Tisné ou Jacques Castérède…)

 

Et bien sûr, déjà, elle leur « commandait » des pièces pour piano(s)…

 

La liste des œuvres suscitées reste probablement à établir avec précision, car Geneviève, dans ses concerts ou ses disques, les mélangeait à d’autres pièces récentes. Là se voyait clairement son travail de recherche, son insatiable curiosité, source d’éclectisme (point très remarquable à cette époque de guerres esthétiques).

 

Le duo Bonneton-Ibanez se trouva rompu brutalement en 1979 par la mort prématurée de Claude Bonneton, à l’âge de 37 ans. Cet événement si tragique a sans doute encouragé Geneviève Ibanez à reprendre à son compte la défense des musiques nouvelles.

 

Autre conséquence immédiate : elle vint à Boulogne, promu « CNR » cette année-là, remplacer Claude Bonneton, et enseigner petits et grands, futurs amateurs ou professionnels. Très logiquement, les œuvres qu’elle suscita concernèrent alors tous les niveaux d’étude, même faciles (et l’on sait la difficulté de cet exercice)

 

Sa proximité personnelle avec beaucoup de créateurs lui a permis, dans les décennies 1980-90, de poursuivre ces commandes, toujours choisies avec une grande diversité. Et pour bien calibrer les niveaux des oeuvres, son expérience de pédagogue fut cruciale.

 

La collection la plus aboutie est sans doute « Piano 20-21 » : 4 volumes, 28 compositeurs, où la génération 1920 (Chaynes, Nigg, Castérède) côtoie celle des années 1960 (Campo, Pesson)

 

L’éditeur, Henry Lemoine, a pris soin de citer sa déclaration d’intention, que je cite in extenso :

 

A l’origine de cette collection, le désir d’ajouter au répertoire un matériel spécifique destiné à l’interprétation de la musique contemporaine. Nous avons donc passé commande à des compositeurs, que nous souhaitions d’esthétique et de génération différentes, car nous animait une autre volonté, celle d’offrir aux pianistes des œuvres nouvelles comme autant de photos instantanées de la création en ce 20ème siècle finissant.

 

Un tel projet m’a conduit à diversifier à ma manière : je fus le seul à écrire pour 4 mains, et donc à enregistrer Triangle avec elle en 1997 !

 

Geneviève fait partie d’une longue lignée de professeurs qui ont enrichi le répertoire de leur instrument. Et par ailleurs le Conservatoire de Boulogne-Billancourt est connu pour avoir commandé environ 70 œuvres très diverses depuis les années 1970… Geneviève Ibanez était en terrain propice, et devint peu à peu un des phares de cette politique créatrice.

 

Tout cela ne saurait faire oublier l’essentiel : ses qualités humaines : générosité, disponibilité, fidélité en amitié. J’ajouterai, pour ma part, une confiance réciproque à toute épreuve…et si précieuse dans les moments difficiles. Cette Geneviève-là nous manque tellement aujourd’hui.

Alain Louvier, compositeur

Directeur du CRR de Boulogne-Billancourt (1972-86 et 2009-13)

Directeur du CNSMDP (1986-91)

 

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A ce portrait tracé par Alain Louvier je vais ajouter quelques précisions sur son investissement en faveur des œuvres contemporaines pendant les années où j’ai suivi son parcours amicalement et professionnellement. Je me dois de mentionner ici que certaines de ces précisions proviennent d’un manuscrit de souvenirs, intitulé par ses soins « Vagabondage », qu’elle avait eu l’amabilité de me donner.

 

Je vois encore comment devant un manuscrit dont l’encre est encore fraîche Geneviève montre de la gourmandise. Ses doigts frissonnent sur le clavier, ses yeux courent sur les portées et rapidement l’œuvre apparaît, déjà avec des couleurs.

 

De cette première lecture faite avec enthousiasme et sans jugement de valeur, elle tire le goût d’un décryptage précis et commence, à percevoir les axes du travail nécessaire. Elle sait que chaque compositeur a sa spécificité, trouve passionnant de la rechercher mais se pose la question : « Qu’a-t-il voulu dire ? » Elle tente alors de répondre à cette question pour être en accord avec lui.  Pour que le geste instrumental fonctionne bien, analyser l’œuvre l’aide ainsi que l’intuition, mais elle écoute aussi les dires du compositeur que son don de sympathie lui permet souvent de connaitre.

 

Ses programmes, quand elle est libre de décider de leur contenu, associent le plus souvent une œuvre contemporaine à des pages classiques. Ce sont souvent celles de maîtres espagnols qu’elle affectionne et qui lui ont valu le Prix d’interprétation au concours Maria Cañals de Barcelone. Toutefois c’est surtout vers Chopin, que la portent ses doigts et sa sensibilité. Quand il figure à côté de compositeurs contemporains elle sait passer d’un toucher moelleux à une frappe violente voire agressive.

 

La liste des compositeurs dont elle a joué fréquemment, voire créé des œuvres, comprend plus d’une cinquantaine de noms. Claude Bonneton, fervent et dynamique défenseur de la modernité, l’a confortée dans ses options personnelles et a entretenu son enthousiasme. Ensemble ils ont joué les doubles concertos de Poulenc, Stravinsky, Martinu et créé plusieurs œuvres dont certaines composées pour eux dont Pianologie de Jacques Castérède. De cet ami, lui-même pianiste, elle joue fréquemment, et avec lui notamment, ses Feux croisés ou son Hommage à Thelonius Monk. Elle lui trouve une « double personnalité, à la fois mystique et humoristique […] Lorsqu’il écrit, dit-elle, il jongle avec les modulations, les contrepoints et surtout un mélange de rythmes extraordinaires. »

 

Le goût de Geneviève pour le partage favorise sa collaboration avec d’autres artistes. Ainsi avec une pianiste comme Odette Chaynes, présentent-elles Et si c’était une valse de Charles Chaynes dont le titre des mouvements rend compte, avec humour, de l’évolution des tempi : Pourquoi pas- Peut-être et Sans hésitation. Avec Alain Louvier, l’auteur au 2ème piano, elle joue les Etudes pour agresseurs (4ème Livre) lors du festival Présences de la Radio en 1994, avec Françoise Arnal les Variations sur un thème de Paganini de Lutoslawski et avec Marie-Cécile Milan Bocéphale d’Antoine Tisné.

 

De ce compositeur dont elle juge la musique « vaste et grandiose » elle est souvent l’interprète et la dédicataire pour Clartés hyperboréennes, crées en 1998 au triptyque, association que Pierre d’Arquennes fait vivre à la salle Cortot. C’est avec Frédéric Lagarde qu’elle joue Musique pour deux pianos de Michel Merlet, et avec Sophia Vaillant la Toccata de Graciane Finzi et Celestial Mechanics, extrait des Makrokosmos de Georges Crumb pour piano à quatre mains et piano amplifié qui, peut-être, lui suggère cette réflexion : « J’aime les musiques mixtes car le coté instrumental (humain) devient fragile et attachant par rapport à la machine ».

 

Dès sa sortie du conservatoire, avec son amie Kathy Paget elle présente les sonates de Maurice Le Boucher et Martelli puis, avec sa fille, Christine Bonneton, danseuse dont les chorégraphies s’inspirent du souffle des œuvres, Ecart d’André David et l’Innocent, une des quatre parties des Eaux Fortes de Georges Hugon qu’elle interprète intégralement salle Pleyel en novembre 1992. Elle apprécie beaucoup ce compositeur, « devine bien les tourments qui le hantaient », met cette partition « sur le même plan que Gaspard de la nuit ». Elle la joue lors de l’hommage qui lui est rendu à la radio dans l’émission « Musique à Découvrir » le 13 février 1990 et, avec le violoniste Antoine Goulard, le nocturne et la sonate-Impromptu.

 

Plusieurs violonistes ont été ses partenaires, John Cohen, Annie Jodry pour le Récitatif poème de Jean Jacques Werner, Alexis Galpérine pour la Suite juive d’Elsa Barraine ou la Sonatine de Pierre Wissmer dont elle accompagne par ailleurs les mélodies chantées par le baryton Jean-Jacques David.

 

Elle trouve « la musique de chambre merveilleuse car on n’a pas le sentiment de solitude sur scène ». Ainsi avec le Trio classique (créé par Claude Bonneton avec John Cohen et René Benedetti) interprète-t-elle des partitions de Lemeland, Lersy (compositeur et peintre dont elle possède plusieurs toiles), et le troisième trio de Martinu au cours d’un concert à l’opéra Garnier le 11 mars 1979. De Martinu elle joue aussi avec Devy Erlih et la flutiste Chrystelle Delaval la sonate Madrigale à l’académie musicale de Flaine.

 

C’est accompagnée par l’orchestre Léon Barzin, qu’elle joue les Variations symphoniques de Daniel Lesur au cours d’un Hommage à la Schola Cantorum rendu en 2008 à cet ancien directeur de l’Ecole, et, avec des solistes du même orchestre, Décan d’André David à la salle Gaveau le 14 décembre 1999.

 

Lorsqu’elle est seule en scène Geneviève libère totalement la luminosité de son jeu autant que sa vigueur car elle se plait à dégager l’affirmation volontaire d’une œuvre. « J’aime en musique contemporaine le côté percussif. Mais danger, le son devient vite dur... ». Cette méfiance est sa sauvegarde. Elle ajoute « J’aime bien ces oppositions de douceur et violence […] Très contemporain cette violence ! Miroir de notre société. Cela demande des doigts d’acier pour le contrôle du son même et surtout si l’attaque aboutit à un pp ! ».

 

Beaucoup de créateurs figurent à son répertoire de soliste, Jean Paul Holstein, Alain Weber dont elle enregistre le virtuose Mouvement perpétuel, Jacques Chailley ou André Jorrand pour sa sonate en 1992. Elle donne en 1ère audition les Trois nocturnes de Jacques Desbrière au Triptyque en février 1986, programme les Novelettes d’André Casanova en 1994, Jacques Murgier et Malipiero dont elle interprète Barlum lors d’un festival à l’Institut italien.

 

Elle cherche toujours à respecter les directives données par les auteurs, consciente pourtant des contraintes qu’elles engendrent. Elle raconte qu’un de ses professeurs lui avait dit « pour s’amuser » : « Joue les morts, ils ne t’embêteront pas !»

 

Elle s’entretient avec Ton-That Tiêt quand elle doit jouer Trung Dzung : « Le temps des orientaux est différent du nôtre. Je l’ai compris quand j’ai joué une œuvre de ce compositeur dans L’odeur de la papaye verte. Je ne supportais pas ces minutes passées à filmer une fourmi. Tout me paraissait figé. Pourtant c’est cette notion d’éternité qui fait le charme et l’étrangeté du film. »

 

Geneviève éprouve un tel plaisir à s’investir dans une partition que, peut-être par intuition, elle accepte toutes les esthétiques sans chercher que le nom de l’auteur soit alors l’un des plus reconnus. Elle apprécie tant de se trouver devant une page nouvelle qu’elle semble ne pas la juger et, qu’elle que soit son opinion, elle la garde pour elle. Elle dit « Je fais mon métier ».

 

Totalement investie dans la mise en lumière des compositrices elle inscrit dans ses concerts Graciane Finzi, Edith Canat de Chizy pour Mobiles immobiles, Pierrette Mari pour un hommage à Jeanne Loriod, Thérèse Brenet, Monique Cecconi pour Ellipseis et Adrienne Clostre pour quelques extraits des spectaculaires Variations italiennes.

 

L’implication totale de Geneviève Ibanez dans la musique contemporaine recouvre aussi des actions de grande ampleur dans le monde musical. Elle participe au développement des « WE du clavier contemporain » organisés par le conservatoire Chopin, dans le XVème arrondissement de Paris, y inscrivant des élèves et y participant elle-même. Elle perpétue avec énergie à Sète la tradition des « Stages musicaux d’été » inaugurés par Claude Bonneton, elle en organise avec ferveur le déroulement et en contrôle avec vigilance l’évolution. Ainsi impose-t-elle lors du grand Concours international qui s’y déroule chaque année l’accompagnement d’une mélodie de Pierre Wissmer et, lors de la finale, l’exécution d’une œuvre contemporaine.

 

Son importante discographie témoigne de sa générosité musicale et offre aux auditeurs un écho du rayonnement de sa personnalité.

 

 

Pierrette Germain David

Productrice Radio-France (France Musique / France Culture) 1963-1993

2023

 

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Note de la rédaction de Musimem : afin de compléter quelque peu ces portraits écrits par Alain Louvier et Pierrette Germain-David, il convient de livrer ici des éléments biographiques destinés à mieux appréhender la personnalité de Geneviève Ibanez.

 

Née le 2 août 1942 à Sète (Hérault) et décédée le 27 mars 2023 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), son goût pour la musique provient assurément de sa mère sur laquelle il est juste de s’arrêter un instant. Celle-ci, née Josette Fauquier (1913-2017), originaire de Montpellier tout comme son futur mari le Docteur ORL Edouard Ibanez (1905-1988), était en effet pianiste et pédagogue à Sète. Tout d’abord élève du Conservatoire de Montpellier (prix de piano en 1924 dans la classe de Léonce Granier), puis, à partir de 1925 de Georges Falkenberg et Armand Ferté au CNSMP, elle termina ses études musicales à l’ENM, sous la direction de Cortot, où elle obtint sa licence de concert en 1933.

 

En janvier 1929, Josette Fauqier, « enfant de 15 ans, aux longs cheveux d’un blond ardent descendants jusqu’à moitié de sa taille menue » offrait « un charmant concert » à la salle de l’Eldorado d’Avignon, qui remportait le succès avec ce programme : Sonate en ut, op. 53 (Beethoven), 13e Rhapsodie (Liszt), Berceuse (Chopin), Seguidillas (Albeniz), Nocturne en si bémol mineur (Debussy), 3 Etude de Chopin : en sol bémol majeur, en mi majeur, en ut mineur, Ballade en sol mineur (Chopin), Un Soupir (Liszt), Fantaisie en fa mineur (Chopin)… Le Concours international de piano que fondera plus tard sa fille créera un « Prix Josette Ibanez » pour la meilleure interprétation romantique.

 

Quant à Geneviève Ibanez, précisons qu’elle remportait à 10 ans une médaille d’or au Conservatoire de Montpellier, avant de rejoindre le CNSMP où elle obtenait un 1er prix de piano. Professeur durant de nombreuses années au CRR de Boulogne-Billancourt, au Conservatoire Francis Poulenc de Paris et à la Schola Cantorum de Paris, on lui doit aussi la fondation à Sète en 2007 du « Concours international de piano Claude Bonneton » créé à la suite du Stage de Piano annuel qu’elle animait l’été dans cette ville depuis de nombreuses années. C’est en hommage à son premier mari, le pianiste Claude Bonneton, décédé jeune à 37 ans qu’elle avait baptisé de son nom ce concours. Leur fille, Christine Bonneton, chorégraphe et danseuse, après avoir obtenu un 1er prix de piano au CNR de Boulogne-Billancourt et son diplôme d’état de danse contemporaine, puis travaillé pour la compagnie « Zig-Zag, a fondé en 2005 sa propre compagnie de danse contemporaine « Un bruit qui court » et en 2014 une autre compagnie « Point de bascule ». Les obsèques (bénédiction) de Geneviève, qui avait épousé en secondes noces un médecin (Jacques Guirard de Nadon) ont été célébrées le 5 avril 2023 à 10h30 en l’église Notre-Dame-de-Lorette à Paris, suivies de son inhumation en Normandie, au cimetière de la Roussière à Mesnil-en-Ouche (Eure).

 

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Discographie de Geneviève Ibanez

 

- Eugène KURTZ Five Sixteen, Tolia NIKIPROWETZKI Études, Antoine TISNE Les soleils noirs, TON-THAT Tiêt Trung Dzuong / Première gravure de la Société Nationale de Musique (REM n°11009)

 

- Georges HUGON Nocturnes pour violon et piano (Cybelia numérique)

 

- Georges HUGON Étude et Eaux Fortes et Maurice RAVEL Gaspard de la nuit (REM n°311141 XCD)

 

- Aubert LEMELAND Intégrale pour piano (CY 831)

 

- Jean-Jacques WERNER Sonates pour piano (REM n°311170)

 

- Jacques CASTEREDE, (avec le compositeur) Feux Croisés (REM n°311092 XCD)

 

- TON-THAT Tiêt Trung Dzuong (REM n°311232 XCD)

 

- André DAVID Écart (REM n°311235 XCD)

 

- Jacques CHAILLEY Œuvres pour piano (REM n°311258 XCD)

 

- DEBUSSY-CHABRIER avec Odette Chaynes De l’orchestre au 2 pianos (REM n°311284 XCD)

 

Pierre VELLONES Trios et pièces pour piano (REM n°311311 XCD)

 

- Serge NIGG 1ère et 2ème Sonates (REM n°311288 XCD)

 

- Alain WEBER Le mouvement perpétuel (REM n°311318 XCD)

 

- Alain LOUVIER (avec le compositeur) Études pour agresseur (CC 876 DDD)

 

- Doublant le pianiste du film « L’odeur de la papaye verte », Caméra d’or au Festival de Cannes en 1993, Geneviève Ibanez a joué aussi des œuvres de TON-THAT Tiêt, Le Clair de Lune de Claude DEBUSSY et Les Préludes n°23 et n°24 de Fréderic CHOPIN (Milan East DDD 887 794)

 

- Jacques CHARPENTIER Bref, Thierry ESCAICH Variations-Etudes, Renaud GAGNEUX Passacailles sans tonalité, Ichiro NODAIRA In memoriam, Gérard PESSON Folies d’Espagne, Alain WEBER Hommage à Bartok, Michel SBAR Chronos mobilum, (Éditions Henry Lemoine, Sept pièces contemporaine pour piano Volume 1)

 

- Thérèse BRENET Tout l’or des nuits, Régis CAMPO Kinderball, Edith CANAT de CHIZY Mobiles immobiles, Charles CHAYNES Rencontre vénitiennes, Claude HENRY Traces, Alain LOUVIER triangle Jean-Marc SINGIER Triés, Pétris… Pêle-mêle (Éditions Henry Lemoine, Sept pièces contemporaine pour piano Volume 2)

 

- Jacques CASTEREDE Danses au crépuscules, Jean-Jacques DI TUCCI Prélude, Édith LEJET Fleurs d’opale, Serge NIGG Deux images de la nuit, Antoine TISNE Dans les clartés hyperboréennes, TON THAT THIET images furtives, Jean-Jacques WERNER Night Sky (Éditions Henry Lemoine, Sept pièces contemporaine pour piano Volume 3)

 

- Gilbert AMY Haiku, Marie-Hélène FOURNIER Le sourire du chat, Felix IBARONDU Prélude, Betsy JOLAS Postlude, Michael LEVINAS Mouvements Paradoxaux, Bruno MANTOVANI Étude pour un clair-obscur (Éditions Henry Lemoine, Sept pièces contemporaine pour piano Volume 4)

 

Pierrette Germain David

(2023)

 

 

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