JEAN-JACQUES GRUNENWALD   (1911 - 1982)



Jean-Jacques Grunenwald aux claviers du grand orgue de l'église St-Sulpice (Paris).
( Photo A. Seeberger )

Les dons exceptionnels que la nature avait donné à Jean-Jacques Grunenwald lui permirent de mener une carrière " triplement prestigieuse de virtuose, de compositeur et d’improvisateur, poursuivie dans le monde entier et sanctionnée avec une ferveur constante par la presse des cinq continents. "1 Il faut dire que ce génial improvisateur, digne successeur de Marcel Dupré à la tribune de Saint-Sulpice, avait le don de faire chanter son instrument de prédilection, notamment grâce à une perfection dans la construction, qui lui venait certainement de ses études d’architecture aux Beaux-Arts. A l’évidence, son esprit de mathématicien, qui avait failli le faire rejoindre Polytechnique, lui permettra toute sa vie durant d’atteindre la perfection, à tel point que certains le considèrent comme le plus grand improvisateur de son temps. Lui-même d’ailleurs dira un jour, parlant de la manière dont il construisait ses œuvres : " Je vois littéralement -comme la première esquisse d’un plan d’architecture, réduite à quelques axes principaux- la forme de mon œuvre et je modèle ma pensée musicale en fonction de ce schéma imaginaire. "2

Bernard Gavoty, qui fut son condisciple au CNSM, raconte, à propos d’une improvisation de Grunenwald à Saint-Sulpice :

" Mais ce que je veux dire sans détours, c'est qu'à la fin de la messe, quand Grunenwald a improvisé une grande sortie, après avoir joué à la communion deux " Elévations " exquises de notre maître commun, j'ai compris qu'un artiste unique de son espèce avait trouvé son digne successeur. Décision du propos, pureté du style, beauté de la langue polyphonique, aisance dans la conduite d'un " fugato " si riche qu'il paraissait écrit, originalité de l’architecture - tout y était. Je ne sais rien de plus beau qu'un disciple rendant, par un talent suprême, hommage au génie de son maître, rien de plus satisfaisant pour l'esprit qu'une filiation ainsi affilée. Mettre ses pieds dans les empreintes d'un tel devancier et progresser dans la voie qu'il vous a tracée, c'est, st j’ose dire, la recette d'une tradition qui nous a valu, jusqu'à l'arrogante rupture du dernier après-guerre. une succession de chefs-d’œuvre. L'orgue de Salnt-Sulplce est entre des mains dignes de le toucher. "

Né le 2 février 1911 à Cran-Gevrier, près d’Annecy, il apprit rapidement la musique et dès l’âge de 14 ans touchait l’orgue de la cathédrale de Lausanne (Suisse). Elève de Marcel Dupré au Conservatoire de Paris à partir de 1932, il remportait un premier prix en 1935. Egalement élève de composition de Büsser, après avoir remporté un autre premier prix en 1937, il décrochait un premier Second Grand Prix de Rome deux ans plus tard avec sa cantate La farce du Mari fondu. Ce n’était pas cependant sa première composition, car lors de l’Exposition Universelle de 1937, il avait reçut le premier Grand Prix attribué par le jury de l’exposition, pour une partition pour orchestre destinée aux Fêtes de la Lumière.

Pouvoir de Jean-Jacques Grunenwald à Joachim Havard de la Montagne pour le représenter à l'Assemblée générale de l'Union des Maîtres de Chapelle et Organistes le 15 décembre 1966.
( Coll. D.H.M. )

Simultanément à ses études musicales, il entreprend aussi des études à l’Ecole nationale des Beaux-Arts de Paris qui lui vaudront d’être architecte D.P.L.G. (1941) . Mais, passionné par la musique, grand chrétien et attiré par l’art religieux sous toutes ses formes, il choisit une carrière d’organiste liturgique et débute à l’église anglicane de Neuilly-sur-Seine, avant d’être nommé en novembre 1955 à St-Pierre du Petit Montrouge (Paris XIVe). Le grand orgue, un Charles Spackman Barker de 1868, reconstruit par Merklin en 1892 et relevé par Gutschenritter en 1934, comprenait alors 40 jeux répartis sur 3 claviers manuels de 56 notes et un pédalier à l’allemande de 30 notes. Jean Langlais, était l’un de ses illustres prédécesseurs dans cette tribune. C’est durant cette période qu’il enregistra le premier, entre 1957 et 1962, l’intégrale des œuvres d’orgue de Jean-Sébastien Bach, sur l’orgue Gonzalez de la cathédrale de Soissons (24 disques). Le 21 janvier 1973, il arrivait à St-Sulpice (Paris VIe) et recueillait la succession de son ancien professeur, Marcel Dupré, mort le 30 mai 1971. C’est Françoise Renet, qui avait assuré l’intérim entre les deux maîtres. A vrai dire, ce bel instrument Cavaillé-Coll ne lui était pas inconnu, car il l’avait déjà touché à de nombreuses reprises, entre 1936 et 1946, époque où Dupré l’avait pris comme assistant. Il dira d’ailleurs lui-même plus tard, parlant de cet orgue " Ce fut l’alpha et l’oméga de ma vie d’organiste. " Il se plaisait à interpréter ici ses auteurs favoris qui couvrent une vaste époque : de Bach à Messiaen, en passant par Buxtehude, Grigny, Franck, Widor et bien entendu, son maître Marcel Dupré pour lequel il avait une affection toute particulière.

Jean-Jacques Grunenwald n’était pas seulement un brillant organiste, mais également un pédagogue recherché. Professeur d’orgue à la Schola Cantorum, de 1957 à 1961, il enseigna ensuite au Conservatoire de Genève jusque 1966. Jean-Pierre Decavèle, Raffi Ourgandjian et Louis Robilliard, parmi d’autres, se souviennent certainement de son enseignement qui leur a apporté perfection, virtuosité, rigueur dans la construction et chaleur dans les idées.

Avec plus de 1500 concerts donnés aux quatre coins du monde, il fut certainement l’organiste français le plus connu à l’étranger. Il donna même plusieurs récitals en URSS, dans des salles qui accueillaient parfois près de 5000 auditeurs, et permit ainsi de faire découvrir Bach ou Franck aux descendants spirituels de Staline et de Lénine !

Comme compositeur, son œuvre est variée. Elle comporte, bien évidemment, de nombreuses pièces pour orgue, mais on y trouve également des pages pour piano : Six impromptus, Thème et variations, Prélude, La mélodie intérieure, Fantasmagorie... ; pour chant et piano : Forêts ; des pièces de musique de chambre ; deux Concerto pour piano et orchestre (1940); un poème symphonique biblique, Bethsabée (1943), comprenant 4 Chants : La Convoitise, Le Crime, Le Repentir, Le Pardon ; une Ouverture pour un drame sacré, œuvre inspirée qui fut donnée en première audition le 7 février 1955 à la Radio par Gaston Poulet et l’Orchestre National ; un Psaume 129 (1958) pour chœur mixte, orchestre et orgue ; un opéra Sardanapale (1950), d’après Lord Byron, dans un arrangement de René Dumesnil, commandé par la Direction des Arts et des Lettres ; une Cantate pour le vendredi saint (1955) ; une Fantaisie en dialogue pour orgue et orchestre (1964)... Sa musique pour orgue, marquée par l’atonalisme recouvre une vingtaine de numéros d’opus : Deux suites (1937), Berceuse (1939), L’Hymne aux mémoires héroïques (1940) composé à la mémoire de Jehan Alain, L’Hymne à la splendeur des clartés (1940), Quatre Elévations (1942), Variations brèves sur un Noël du XVIe siècle (1949), Cinq Pièces pour l’office divin (1952), Fugue sur les jeux d’anches (1954), Diptyque liturgique (1956) destiné à l’inauguration de l’orgue de l’église Saint-James à New-York, Hommage à Josquin des Près (1956), Introduction et aria (1956), Messe du Très saint Sacrement (1960) pour orgue sans pédale obligée, Adoratio (1964), Sonate (1964) qui est une des pages les plus importantes de l’œuvre pour orgue de Grunenwald, Pièce en mosaïque (1966) composée pour le concours d’orgue du CNSM, Pastorale mystique (1968), Oppositions (1976), dernière œuvre connue, dédiée à Nadia Boulanger et destinée également au concours d’orgue du CNSM.

Jean-Jacques Grunenwald s’est également essayé à une certaine époque, avec succès d’ailleurs, dans la musique de films. C’est une rencontre avec Robert Bresson, cinéaste à part dans le cinéma français, solitaire, silencieux et perfectionniste, qui marqua le début de son activité dans ce genre musical, orientée vers un certain expressionnisme religieux. Il est incontestable, et ce fait est peu connu, que l’apport de Grunenwald dans ce domaine est primordial. Cette longue expérience lui a été très profitable ; il disait lui-même : " Le cinéma m’a donné le moyen d’expérimenter sur le plan des combinaisons orchestrales, et dans e domaine presque infini des truquages électro-acoustiques. Ces champs d’investigations sont, pour moi, des sources précieuses d’enseignement. "3 Même s’il est difficile de donner une liste exhaustive des longs métrages qu’il a illustrés, car il travaillait parfois sus un pseudonyme, voici néanmoins une liste des plus complètes :

1943 Les anges du péché (Robert Bresson)
1944 Les dames du Bois de Boulogne (Robert Bresson)
1945 Falbalas (Jacques Becker)
1947 Monsieur Vincent (Maurice Cloche)
Antoine et Antoinette (Jacques Becker)
1948 Docteur Laënnec (Maurice Cloche)
1951 La vérité sur Bébé Donge (Henri Decoin)
Edouard et Caroline (Jacques Becker)
Le journal d’un curé de campagne (Robert Bresson)
La demoiselle et son revenant (Yves Allégret)
1952 Le rideau cramoisi (Alexandre Astruc)
1953 Les amants de Tolède (Henri Decoin)
1954 L’étrange désir de monsieur Bard (Geza von Radvanyi)
Le chevalier de la nuit (Robert Darène)
Le défroqué (Léo Joannon)
1956 L’homme aux clés d’or (Léo Joannon)
1957 Les aventures d’Arsène Lupin (Jacques Becker)
S.O.S. Noronha (Georges Rouquier)
1963 A cause, à cause d’une femme (Michel Deville)

Décédé à Paris le 19 décembre 1982, Jean-Jacques Grunenwald, " musicien vigoureux et sain ", laisse des " oeuvres qui frappent par la netteté de leur plan, le naturel de leurs harmonies, la fermeté de leur dessin, leur expression mélodique. " 4

Denis HAVARD DE LA MONTAGNE

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1) Bernard Gavoty, in Le Figaro. [ Retour ]

2) Bernard Gavoty et Daniel Lesur, Pour ou contre la musique moderne ?, Paris, Flammarion, 1957, p. 146. [ Retour ]

3) Bernard Gavoty, Daniel Lesur, op. cit., p. 145. [ Retour ]

4) Id., p. 144. [ Retour ]



Quelques articles de presse

 

 

« Les Musiciens :

On ne pourra pas reprocher à Pierre Guerlais, réalisateur de Jocelyn, de décourager les jeunes talents.

En effet, il a choisi, pour écrire la partition originale qui accompagne le film, un jeune compositeur de vingt-deux ans, Jean-Jacques Grünenwald, qui est également un exécutant remarquable aux grandes orgues.

Jean-Jacques Grünenwald fut l’élève de Ludovic Breitner pour le piano et du regretté Paul Vidal pour la composition ; il est actuellement l’élève de Marcel Dupré pour l’orgue et l’improvisation.

Sa virtuosité précoce étonna ses maîtres et à l’âge de quatorze ans il eut l’occasion de jouer sur l’orgue à quatre-vingt-dix jeux de la cathédrale de Lausanne. Il recueillit, après cette audition, tous les éloges de la Presse.

Cette double qualité de créateur et d’exécutant lui a permis d’enregistrer lui-même, sur les grandes orgues, la partition de Jocelyn.

Interviewé pendant la réalisation du film, Jean-Jacques Grünenwald nous déclara :

« La musique de Jocelyn, par laquelle je débute dans la carrière cinématographique, suit intimement tous les états d’âme exprimés par Lamartine dans son immortel poème et notamment la splendide illustration qu’en a tirée Pierre Guerlais.

« Mon but, en composant cette partition, a été d’obtenir une expression symbolique de l’esprit de chaque scène du film. »

(La Critique cinématographique, 5 août 1933, p. 14)

 

« 6 IMPROMPTUS, piano, (Jean-Jacques Grünenwald). — De forme classique, ils constituent de courts poèmes où l'auteur a exprimé des émotions diversement caractérisées. — Dans le n° 1 (Lent) 2 thèmes sont côte à côte exposés, puis développés, amplifiés. La grande économie tonale du morceau, et l'emploi de modes inspirés des Hindous, lui confère un caractère doucement tendre et lointain. — Contrastant avec le précédent, le n° II très allant et rubato) expose une longue phrase très libre, coupée à certains moments par un motif obstiné comme un refrain. — Dans le n° III, un carillon en fa dièse majeur se superpose à un thème très fluide qui donne lieu à une divertissante polytonie. — Le 4è (très vif) est une petite pièce de virtuosité où deux thèmes (l'un dans le mode phrygien, et l'autre majeur) se développent dans un rythme alerte. — Dans le 5e (très modéré) un thème très expressif est exposé dans différents registres du piano ; le rythme de 5/4, et le sentiment harmonique créent une atmosphère de profond recueillement, auquel vient faire contraste un court milieu ternaire qui ramène une conclusion résignée sur le 1er thème. — Le 6e (Presto con fuoco) est un court « feu d'artifice » écrit dans le mode surmajeur, tout en gaîté et en contrastes, et qui affirme, après une équivoque voulue, un UT majeur resplendissant. »

(L'Art musical, 3 avril 1936, p. 563)

 

« Société Liszt :

Le 8ème Concert de la Société Liszt, dirigée et fondée par le jeune organiste Guy-Lambert, était consacré aux œuvres de Jean-Jacques Grünenwald venu, selon l’habitude présenter ses oeuvres lui-même ; ce fut une réussite totale. La musique de Grünenwald est captivante, mélodieuse et d’un tour très personnel. Il ne recherche pas la dissonance, mais il ne la fuit pas non plus. Son choix est opportun et cette attitude nous le rend très sympathique.

Que de musicalité et de beauté dans la Mélodie intérieure, de joie saine et truculente dans le Thème et Variations !

L’auteur nous fit entendre ensuite du Bach et du Liszt où il brilla : brio, finesse, charme, sensibilité, style, tout cela dosé, enthousiasma l’auditoire (signalons une délicieuse transcription d’Albert Levêque du Choral de Bach, « Que les brebis paissent en paix »). Jeanne Bouillet, grand-prix de piano de Lyon, fut sa brillante partenaire dans l’exécution à 2 pianos de sa difficultueuse Fantaisie Arabesque dont le final contient des trouvailles au point de vue rythmique. Enfin, l’ensemble vocal de Mme Paul Beutter pour « l’enseignement rationnel du Chant français », nous démontra l’excellence desdits principes rationnels. Nous eûmes, dans les choeurs de Grünenwald, une délicieuse impression de fraîcheur. Mme Mazoyer, soliste de l’Ensemble, est une chanteuse des plus agréables, mais qu’elle se méfie de son léger accent. Voilà une réussite de plus à l’actif de Guy-Lambert, dont les commentaires pertinents nous permirent une compréhension plus aisée. L’idéal de la Société Liszt est de « servir » : nous pouvons dire qu’une fois de plus la réalisation a tenu ses promesses. — R. G. »

(L'Art musical, 7 janvier 1938, p. 378)

 

« Au fil des vacances :

M. Jean-Jacques Grünenwald a écrit un poème symphonique : Le Bateau Ivre, pour flûte, cor, quatuor à cordes et piano, un Scherzo pour piano, et une Invocation pour Ondes Martenot et orgue, qu’il a l’intention d’orchestrer. Il a, en outre, jeté les premières bases d’une œuvre importante pour orgue. Enfin, il prépare une tournée de concerts qu’il doit accomplir aux Etats-Unis, au début de l’an prochain. »

(L'Art musical, 21 octobre 1938, p. 73)

 

« LE GRAND PRIX DE ROME DE MUSIQUE PARIS :

1er juillet. L'Académie des Beaux-Arts procédant au jugement du concours de Rome de musique, a voté le grand prix à M. Pierre Maillard Verger né à Paris en 1910. Elle a voté ensuite le premier second grand prix à M. Jean-Jacques Grünenwald, né à Cran-Gevrier (Haute-Savoie) en 1911. »

(L'Ouest-Eclair, 2 juillet 1939, p. 3)

 

« On réveille demain l'orgue de Franck et de Massenet :

13, rue du Perche... L'antique chapelle des capucins du Marais, chère à Mme de Sévigné, l'épistolière. Un orgue de 1844 aux boiseries craquantes, dont rêvait sans doute Huysmans.

A son double clavier s'assirent — émouvant éclectisme — Franck, des Béatitudes ; Delibes, de Lakmé ; Massenet, de Werther. Pianiste virtuose, organiste, grand prix de Rome 1939 et architecte, c'est M. Jean-Jacques Grünenwald, fils d'Annecy, suppléant de Dupré à Notre-Dame, qui fera chanter demain à 16 h. 30 cet instrument délicat et savoureux, soigneusement ausculté et « remis sur pied » par un maître spécialiste, Paul-Marie Koenig.

Mais voici le moins de trente ans : 1 m. 80, brun ; regard clair ; cravate soignée.

— Mes diplômes ? S'excuse-t-il avec une modestie de candidat au bachot... Oh ! bien simples : un premier prix d'orgue et d'improvisation ; un premier-prix de composition et... un mois de claustration au palais de Fontainebleau, avec un piano de location. Résultat : premier second grand prix de Rome.

— Des voyages ?

— Italie, Suisse, Amérique. Le premier parmi les Français, j'ai joué de l'orgue monumental de l'exposition tenue à New-York en 1939. La guerre me surprit, là-bas, en pleine tournée. Je revins promptement sur le « Rex », paquebot italien, où je mis au point mon Hymne héroïque. »

(Paris-Midi, 9 mai 1941, p. 1)

 

« De Jean-Jacques Grünenwald, nous avons quelques œuvres religieuses. Outre ses deux Suites pour orgue, il y a la Messe Glorieuse, et la musique pour le film Les Anges du péché. J’ai été témoin des difficultés qu’il eut alors à vaincre pour faire quelque chose de vraiment religieux, mais qui cependant restât dans la ligne d’humaine vérité qui est essentielle à tout le film.

R.-M. — En supposant à Grünenwald les meilleures qualités d’un compositeur de musique spirituelle, je ne vois pas très bien comment il aurait pu les faire valoir dans un tel ouvrage. Sa musique me paraît réussie comme musique de film, mais c’est une autre question. »

(Cahier de l'art sacré, 1945, p. 37)

 

« Grand Prix musical du Conseil général de la Seine 1962 :

Présidé par M. Georges Dardel, président du Conseil général, le jury du Grand Prix musical du Conseil général de la Seine s'est réuni le 25 octobre 1962 à l'Hôtel de Ville (salon Chéret).

A l'issue de la séance, le prix, doté de 4.000 N F, a été décerné à M. Jean-Jacques Grünenwald pour l'ensemble de son œuvre. »

(Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, 4 novembre 1962, p. 2556)

 

Collecte : Olivier Geoffroy

(juillet 2023)


 


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