MICHEL CIRY - Catalogue




Ballade[1] (1951)

violon et piano

 

1956, Durand

Ballade no 1 (1949)

piano

42

Schott

Ballade no 2 (1956)

piano

 

1961, Durand

Capriccio[2]

saxophone alto et piano

52

 

Chansons : Mais quand il reviendra (slow) & J’ai des chansons dans le cœur (tango-valse) (1970)[3]

instruments ad libitum (en si mineur)

 

Lugano : Transworld Music ; Fribourg : Hush-a-bye Music ; Volketswil-Zürich : Helbling

Concerto[4] (1948)

pour piano, vents (2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, 2 trompettes, 3 trombones, 1 tuba), timbales et percussions

 

Schott

Concerto (1951)

pour flûte, hautbois et orchestre à cordes

 

 

Concerto (1956)

pour 15 instruments à vent et percussions

 

 

Concertos n° 1 (1945) et 2 (1946)

pour deux pianos

 

 

Dolor y Paz[5]

orchestre à cordes

47

 

Duos (deux)[6]

piano et violon

 

 

Ecce homo (1955)

orchestre

 

 

Intermezzo[7] (1943)

violon

 

 

La Crucifixion (de Grünewald)

 1 clarinette, 2 bassons, 2 cors, 2 trompettes, 3 trombones, 2 pianos, timbales et 2 percussions

 

Billaudot

Le Chant des ténèbres (1951)

orchestre

 

 

Le mystère de Jésus[8] (1953)

orchestre

 

Billaudot

Méditation symphonique no 1

 

 

 

Méditation symphonique no 2

 

 

 

Méditation symphonique no 3[9]

3 flûtes, 3 hautbois, 3 clarinettes, 3 bassons, 4 cors, 4 trompettes, 4 trombones, 1 tuba, 3 percussions, timbale, piano, harpe et cordes

 

Billaudot

Mélodie : Aux lépreux de l'hôpital St Louis (P. Claudel) (1940)

voix et piano

 

 

Mélodie : El Desdichado[10] (1939) (Gérard de Nerval)

voix et piano

 

 

Mélodie : Elsa Valse (1947) (Louis Aragon)

voix et piano

 

 

Mélodie : Image de Ste Catherine (1944) ()

voix et piano

 

 

Mélodie : L’église habillée de feuilles ; le Frère de la midinette ; Le mysogine ; Parmi les tombes (F. Jammes) (1943)

voix et piano

 

 

Mélodie : La communiante ; la Seine (1946) (Maurice Carême)

voix et piano

 

 

Mélodie : Madame de Soubise (A. de Musset) [11](1943)

voix et piano

 

 

Mélodie : Sainte (S. Mallarmé) (1942)

voix et piano

 

 

Mélodie : Sonnet (1944) (Louise Labbé)

 

 

 

Mélodie : Sonnet sur la mort de son fils (F. de Malherbe)[12]

voix et piano

 

 

Mélodie : Tristesse d'été (S. Mallarmé) (1944)

voix et piano

36

 

Mélodies (6) sur des poèmes de F. Jammes

voix et piano

 

 

Mélodies : Femmes (Maurice Carême) [Tu es la seule sur la terre ; A l'aube de chaque journée ; Le printemps ; Tu es la saveur de mon pain ; Qu'il vienne, le printemps ; Ris, vent d'été ; Dors ma Caprine ; Partons ; L'hiver a beau givrer nos fenêtres ; Un soir, tu poseras ; Alors, cueille du buis] (1947)

voix et piano

25

 

Mélodies : Chansons d’Orlamonde des 15 chansons (1949) (Maurice Maeterlinck)

voix et piano

 

 

Mélodies : Contrerimes (1er recueil) (1946) (P.J. Toulet)

voix et piano

 

 

Mélodies : Epitaphe à Mademoiselle de Conty ; Epigramme ; A Monsieur de Colletet sur la mort de sa sœur ; Belle âme ; Chanson à Pierre ;mettre devant les heures de Calliste ; Sur l'image d'une Sainte Catherine (F. de Malherbe) (1944)

voix et piano

 

 

Mélodies : L’abeille ; La ceinture (1944) (Paul Valéry)

voix et piano

 

 

Mélodies : La lanterne magique (1947) (Maurice Carême)

voix et piano

 

 

Mélodies : Les murmures des dieux pans (André Berry) (1943)

voix et piano

 

 

Mélodies : Les mystères douloureux [Agonie-Flagellation-Couronnement d’épine-portement de croix-crucifiement] (F. Jammes)[13]

voix et piano

 

 

Mélodies : English Poetry sur des textes de W. Shakespeare (1939)

 

 

 

Mélodies: Le miroir des morts (Les yeux de la morte ; La belle morte ; La revenante ; Cercle) (J. Supervielle) (1948)

voix et piano

31

 

Nocturne[14]

piano

 

 

Nocturne (1943)[15]

violon

 

 

Piéta[16] (1950

orchestre (3 flûtes, 3 hautbois, 3 clarinettes, 3 bassons, 4 cors, 4 trompettes, 3 trombones, 1 tuba, timbales, percussions, piano et cordes)

 

Schott

Piéta (1950)

orchestre à cordes

 

Schott

Préludes[17] 1er cahier

piano

 

Durand

Préludes 2ème cahier

piano

 

 

Préludes 3ème cahier

piano

 

 

Préludes 4ème cahier (1950)

piano

50

 

Quatuor no 1[18] (1955)

cordes

 

 

Quatuor no 2

cordes

 

 

Stèle pour un héros[19] (1949)

orchestre à cordes

43

Schott

Suite[20]

deux pianos

 

 

Suite[21] (1943)

onze instruments

 

 

Symphonie no 1 " Stabat Mater " ou de douleur [22] (1951)

chœur mixte et orchestre

 

 

Symphonie no 2 " Dies Irae " (1952)

chœur mixte et orchestre

 

 

Symphonie no 3 " De Profundis " ou de pitié (1953)

chœur mixte et orchestre

 

 

Symphonie no 4 " d'Espérance " (1954)

chœur mixte et orchestre

 

 

Symphonie no 5 " Pieta " ou de pitié (1955)

chœur mixte et orchestre

 

 

Symphonie no 6 " sacrée " ou " de Gloire " [23] (Rainer-Maria Rilke) (1958)

voix d'alto et orchestre

 

 

Symphonie pour cordes no 1

 

 

 

Symphonie pour cordes no 2 (1945)

 

 

 

Symphonie pour cordes no 3[24]

 

 

 

Symphonie pour cordes no 4[25] (1946)

 

 

 

Trio

cordes

 

 

Trio (1946)

hautbois, basson et piano

20

 

 

(L. Paraire©août 2022)



[1] Audition à Darmstadt le 19 juillet 1951 par Kurt Christian Stier, piano et Heribert Esser, piano.

 

[2] Attesté par un document du Fonds Nadia Boulanger.

 

[3] Source : bibliothèque centrale d’Allemagne à Berlin.

[4] Donné en première à Donaueschingen par l'Orchestre de la Südwestfunk le 19 octobre 1957 (M. Bergmann, piano – H. Rosbaud ou I. Strawinsky à la direction).

 

[5] Donné en première mondiale sur Beromünster le 8 mars 1951 par l’Orchestre de la radio de Zurich.


[6] Composés en 1942.

[7] Transcrit pour violoncelle par Maurice Gendron- La version pour violon était dédicacée à Ginette Neveu.

[8] 6ème prix de composition du Concours Reine Elizabeth de Belgique en 1953. Dédicacé à Julien Green. Donné par Serge Baudo le 16 avril 1962 à Paris.

 

[9] Il semble exister un enregistrement par Pierre Dervaux.

 

[10] Composé à Chatou (source : catalogue de la BNF).

[11] 1ère audition par Paul Derenne et Francis Poulenc aux " Concerts de La Pléiade " le 3 mai 1943.

 

[12] Enregistrement INA par Paul Derenne et Henri Sauguet.

 

[13] Composé en 1942.

[14] Composé en 1942.

[15] Transcrit pour violoncelle par Maurice Gendron.

[16] Donné à Pérouse le 27 septembre 1959 sous la direction de Marcel Couraud.

 

[17] Une audition de quelques préludes a eu lieu le 20 juillet 1953 à Darmstadt (Préludes pour piano op. 44, no 14 et 11 et op. 50, no 20). Par ailleurs, il semble que la pianiste Colette Brugerolle ait enregistré quatre Préludes. Le principe, décidé le 4 décembre 1959, d’éditer le 2ème cahier des Préludes chez Durand n’a pas été mis à exécution (Michel Ciry : Journal 18 mars 1959 – 12 mars 1962, D’Assise à Manhattan Buchet-Chastel, pp.79 et 80).

 

[18] Donné en concert à la Schola Cantorum de Paris le 4 novembre 1959 par le Quatuor Parrenin.

 

[19] 1ère audition en 1949 à Zurich, sous la direction de Paul Sacher. Enregistrement de studio du 20 octobre 1971 par André Girard et l'orchestre de chambre de l'ORTF (radiodiffusé).

 

[20] Composé en 1942.

[21] Première audition aux " Concerts de La Pléiade " avec l'Orchestre Hewitt, le 22 mars 1943. « On y jouait, uniquement, de la musique française, depuis nos plus authentiques génies, jusqu’aux plus jeunes compositeurs ; on n’y admettait qu’un public exclusivement français (je n’ai jamais vu un uniforme allemand dans la salle) », se souvenait après-guerre le violoniste Maurice Hewitt. (La lettre de La Pléiade, no 25). Il s’agissait d’une série de concerts organisés par Gaston Gallimard et Denise Tual.

 

[22] Création par André Cluytens et l’Orchestre de la Radiodiffusion Française. Enregistrement par P. Dervaux et l'orchestre de la RTF le 8 mars 1962 (diffusion sur France Musique le dimanche 07.05.2006). Commencée en 1947.

 

[23] Il semble exister un enregistrement par Pierre Dervaux. Donné à Paris par Irma Kolassy et Manuel Rosenthal le 15 novembre 1962. Une proposition faite à Jeanne Deroubaix pour un second concert n’a pas abouti.

 

[24] Une audition a eu lieu à Darmstadt le 10 juillet 1951 sous la direction d'Hermann Scherchen. Composition entamée en 1947.

 

[25] " (…) 25 novembre 1986 : Gabrielle m'apprend qu'hier elle entendit, retransmise par la Radiodiffusion française, ma 4ème Symphoniecordes (écrite en 1946). Nouvelle qui me fit bien naturellement plaisir mais pour­quoi, au cours des commentaires qui précédèrent son audition, le présentateur éprouva-t-il le besoin d'annoncer que j'avais détruit toutes les partitions composées jusqu'à 1949, date à laquelle j'étais passé d'une écriture tonale à l'atonalisme. S'il est vrai que mon langage musical évolua à l'approche du milieu du siècle, ce n'est pas autant que j'ai fait un bûcher de tout ce que j'avais composé auparavant. Toujours cette irrésistible tentation du mensonge, en vue peut-être de donner davantage de relief aux événements mais à laquelle il me paraîtra toujours malhonnête de succomber." Michel Ciry : Journal 1986-1987, La passion de l'amitié Plon, page 286.

Commentaires supplémentaires sur les symphonies pour cordes : " (…) Elles [les symphonies pour cordes] sont d'un style fort éloigné de celui de La Stèle ou du Stabat Mater, qui pourtant, furent composés peu après. Cela ne manque ni d'invention, ni de dynamisme, ni de charme mais j'y relève des facilités qui me sont devenues insupportables. Dans la première, le mouvement lent est vraiment joli (trop parfois), mais quel dommage que ce qui le rend si plaisant à écouter soit en partie dû à une insistante réminiscence de l'exquise berceuse de l'Oiseau de Feu. (…) ". Michel Ciry : Journal 1986-1987, La passion de l'amitié Plon, pp. 321 et 322.

 

 



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